Les 10 ans de l'IEA de Nantes - Table ronde Société, entreprises et futurs de l’industrie

L’Institut d’études avancées de Nantes fêtait ses 10 ans du jeudi 28 février au vendredi 1er mars ! Le jeudi 28 février et le vendredi 1er mars, l’Institut d’études avancées de Nantes célébrerait ses dix ans à la Cité des Congrès de Nantes, par un événement ouvert à tous. Au cours de ces deux journées, les participants et les intervenants étaient invités à réfléchir aux grands enjeux et défis auxquels sont confrontées nos sociétés à travers une série de cinq tables rondes. Plus de cent chercheurs venus du monde entier, parmi les trois cents accueillis à l’Institut depuis sa création, étaient présents pour penser, ensemble, le monde autrement.

Table ronde « Société, entreprises et futurs de l’industrie »

Introduction par Pierre Musso (membre du Conseil Scientifique de l’Institut), animation par Cécile Petident. Avec Louis Gallois (co-président de la Fabrique de l’Industrie et président du Conseil de Surveillance de PSA Groupe), Jean Peyrelevade (économiste et ancien président du Crédit Lyonnais), Sébastien Massart (directeur de la stratégie, Dassault systèmes), Michel Volle (économiste, vice-président de l’Institut d’iconomie), Pierre Victoria (directeur du développement durable, Veolia) et des Fellows de l’Institut : Lakshmi Subramanian (Godrej Archives, Inde) et Gaël Giraud (chef économiste à l’Agence Française de Développement). Place et rôle de l’entreprise dans la société ? Quels apports des sciences humaines et sociales pour l’entreprise et l’innovation ? Quelles industries du futur et quels futurs de l’industrie ?

L'Institut d’Etudes Avancées de Nantes est une fondation reconnue d’utilité publique dont la mission est d’accueillir en résidence des chercheurs choisis pour l’excellence et le caractère innovant de leurs travaux. L’ambition particulière de l’IEA de Nantes est de tisser des relations d’un type nouveau entre chercheurs du "nord" et du "sud", en s’ouvrant largement à ces derniers et en permettant à chacun de confronter la façon dont il perçoit les questions qui, avec le processus de globalisation, se posent désormais à tous.