Key | Action |
---|---|
K or space | Play / Pause |
M | Mute / Unmute |
C | Select next subtitles |
A | Select next audio track |
V | Show slide in full page or toggle automatic source change |
left arrow | Seek 5s backward |
right arrow | Seek 5s forward |
shift + left arrow or J | Seek 10s backward |
shift + right arrow or L | Seek 10s forward |
control + left arrow | Seek 60s backward |
control + right arrow | Seek 60s forward |
shift + down arrow | Decrease volume |
shift + up arrow | Increase volume |
shift + comma | Decrease playback rate |
shift + dot or shift + semicolon | Increase playback rate |
end | Seek to end |
beginning | Seek to beginning |
https://www.iea-nantes.fr/fr/chercheurs/pardo-sophie_506
Dans ce projet, Sophie Pardo s’intéressera au rôle du partage de la connaissance et de l’incertitude scientifique dans la perception du changement climatique et des aléas naturels et dans les représentations sociales. Elle étudiera comment une représentation plus explicite de l’incertitude liée aux résultats scientifiques pourrait contribuer à améliorer le partage des représentations, renforcer la compréhension des enjeux et la culture du risque chez les individus et jouer un rôle dans l’acceptabilité de mesures d’adaptation adaptatives et flexibles.
Biographie
Après une thèse en économie mathématique soutenue à l’université d’Aix-Marseille en 2002, Sophie Pardo a été recrutée en post-doctorat à l’INRA de Montpellier puis à HEC Montréal. Elle est maîtresse de conférences en économie à l’Université de Nantes depuis octobre 2005, rattachée au laboratoire LEMNA. Depuis janvier 2021, elle est directrice adjointe de la fédération Institut Universitaire Mer et Littoral (IUML, FR CNRS 3473).
Ses travaux de recherche s’inscrivent dans la micro-économie de l’incertain. Elle s’intéresse à la prise de décision dans l’incertain et à la perception des risques. Ses champs d’application concernent la gestion des risques littoraux et marins et l’adaptation aux changements globaux. Elle travaille sur l’adaptation des communes littorales aux risques côtiers (submersion marine en particulier) et sur la vulnérabilité du secteur conchylicole face aux risques sanitaires accentués par le changement climatique. Depuis de nombreuses années, elle mène ces recherches au sein de programmes interdisciplinaires et la mise en œuvre de l’interdisciplinarité est devenue une question centrale dans sa pratique de chercheuse. Elle s’intéresse également à la diffusion de la culture scientifique et technique et s’investit dans des projets Art & Sciences.