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L’ego-histoire s’est aujourd’hui imposée dans le langage. Avec le XXIe siècle, elle est même devenue un objet d’étude à l’échelle internationale. En France, elle s’est constituée en un genre, suscitant une collection aux Éditions de La Sorbonne et un programme ANR dont le colloque final est paru au premier trimestre 2024.
Qu’en dire encore ? Pourquoi s’expliciter et comment ? Qu’espérer apporter par là à l’enseignement et à la recherche en histoire ?
Autant de pistes que Philippe Josserand, professeur d’histoire du Moyen Âge à Nantes Université et auteur de L’histoire, l’ordre et le chaos. Une anthropologie de soi (Dépaysage, 2021), voudrait explorer en dialoguant avec trois anciens étudiants, Marie Boiscommun, Titouan Dufour et Arthur Maillot, aujourd’hui acteurs de la valorisation, de l’histoire publique et de la formation de plus jeunes.
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