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La colonisation française s'est accompagnée d'une intense exploitation des ressources naturelles ainsi que des ressources humaines, notamment en Afrique subsaharienne.
En A.E.F., en A.O.F. comme au Cameroun et au Togo, à coté du travail coutumier et conjointement au travail forcé, le travail salarié, reposant sur le contrat individuel de travail, se développe lentement, générant après la Première Guerre mondiale une réglementation se voulant protectrice. Peu ambitieuse et inadaptée, elle reste inefficace dans un contexte où par ailleurs le travail libre ne se distingue pas toujours du travail forcé.
La situation évolue favorablement après la Seconde Guerre mondiale avec la suppression du travail forcé, la reconnaissance du droit syndical et la création d'une inspection du travail de la France d'outre-mer avant que soit promulgué en 1952 un Code du travail pour l'ensemble des territoires d'outre-mer.
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