Key | Action |
---|---|
K or space | Play / Pause |
M | Mute / Unmute |
C | Select next subtitles |
A | Select next audio track |
V | Show slide in full page or toggle automatic source change |
left arrow | Seek 5s backward |
right arrow | Seek 5s forward |
shift + left arrow or J | Seek 10s backward |
shift + right arrow or L | Seek 10s forward |
control + left arrow | Seek 60s backward |
control + right arrow | Seek 60s forward |
shift + down arrow | Decrease volume |
shift + up arrow | Increase volume |
shift + comma | Decrease playback rate |
shift + dot or shift + semicolon | Increase playback rate |
end | Seek to end |
beginning | Seek to beginning |
Après avoir rappelé le contexte littéraire et politique et évoqué les engagements et les publications de Victor Hugo pendant la décennie 1870, Agnès Spiquel en montre l'unité profonde : au retour de presque vingt ans d'exil, il veut, à la fois et dans un même élan, travailler à l'avènement d'une véritable République et couronner son oeuvre poétique et romanesque. Elle s'arrêtera tout particulièrement sur le recueil L'Art d'être grand-père (1877), qui dessine la figure de l'aïeul en qui se fondent indissolublement l'éblouissement devant les petits et la responsabilité de l'avenir.
Agnès Spiquel, après avoir enseigné le français au lycée (1969-1991), elle a enseigné la littérature du XIXe siècle à l'Université d'Amiens (1991-2002) et celle des XIXe et XXe siècles à l'Université de Valenciennes (2002-2010). Ses recherches ont porté d'abord sur Victor Hugo et sur le romantisme puis sur Albert Camus : elle a entre autres participé à la publication de ses Oeuvres complètes dans la Pléiade, et a présidé de 2004 à 2019 la Société des Etudes camusiennes.